NOM ✛ caldwell (négociable).
PRÉNOM(S) ✛ loan (difficilement négociable).
ÂGE ✛ vingt-trois ans.
DATE DE NAISSANCE ✛ au choix.
LIEU DE NAISSANCE ✛ à cork, irlande.
NATIONALITÉ ✛ au choix.
STATUT CIVIL ✛ célibataire ou en couple, si vous voulez compliquer le tout (j'aime les bordels x))
ORIENTATION SEXUELLE ✛ bisexuelle ou homosexuelle.
MÉTIER/ETUDES ✛ au choix.
GROUPE ✛ au choix aussi, mais j'la verrais bien dans "les hochets".
AVATAR ✛ ashley benson (difficilement négociable).
Son histoire est assez libre, hormis le fait qu'elle soit née à Cork et qu'elle y soit toujours restée. Elle a fait du basket dans l'équipe du lycée en compagnie de Célia. S'est rendue compte de son homosexualité (ou bisexualité) grâce aux sentiments ressentis pour Célia, sa meilleure amie. N'a plus eu de nouvelle d'elle du jour au lendemain, et a toujours été persuadée qu'il se passait quelque chose de grave derrière tout ça, sans en avoir la certitude, et sans pouvoir le confirmer (mauvais pressentiment).
célia matthisson
ft gabriella wilde.
+ extraits de ma fiche ;Puis l'adolescence vint voir le jour dans la vie de Célia. L'entrée au lycée, ses seize ans. Le début de la fin pour les enfants. Oui, leur dernier petit bébé est désormais une grande fille. Bon, pas encore la majorité, mais ce sera vite là. C'est d'ailleurs au lycée que la jeune femme se révéla. A la base très réservée et renfermée sur elle-même, elle ne connaissait pas grand monde. Elle passait son temps avec ses grands frères, mais n'avaient pas beaucoup de potes à elle. Au lycée, elle s'est inscrite dans l'équipe de basket. Et c'est à partir de ce moment là que la véritable Célia pu enfin prendre son envol.
« Les filles, ce soir, c'est le premier match officiel de l'année. J'ai confiance en vous, on va tout déchirer ! » Leur coach était vraiment très forte pour les mettre en confiance. Et ce soir là, les filles avaient remporté le match. D'une vingtaine de points d'écart. Une complicité s'était créée dans l'équipe aux entrainements, et cela se ressentait sur le terrain.
« Je suis fière de vous, vraiment ! Vous avez été parfaites, et c'était la première victoire d'une grande lignée. » Et les filles se dirigèrent dans les vestiaires. Un rituel qui devenait plutôt agréable.
« Tu as géré Célia, c'est grâce à toi ! » Loan faisait également partie de l'équipe. Elle était capitaine.
« Arrête tes conneries, c'est toi la capitaine parfaite de notre équipe. » Et Célia venait de pousser Loan sous la douche, toute habillée.
« Tiens, pour la peine ! Faut bien fêter ta première victoire en tant que capitaine ! » Et à son tour, Loan tira le bras de son amie pour l'emmener avec elle sous la douche.
« Maintenant, on est quitte ! » Les deux jeunes filles se taquinèrent comme ça pendant de longues minutes. Le début d'une belle amitié, d'une complicité hors du commun.
Des meilleures amies. Loan & Célia étaient devenues très rapidement inséparables. Dans la même classe, dans la même équipe... et pourtant, elles se voyaient encore beaucoup en dehors du lycée. Le duo de choc, que tout le monde jalousaient. Mais on sait tous qu'entre l'amour et l'amitié, il n'y a parfois qu'un pas. Ce soir là, Loan proposa à sa meilleure amie de passer du temps, encore une fois, avec elle et d'aller faire un tour à la fête foraine de Cork, qui se tient chaque année.
« Je m'excuse pour le retard, mais j'ai tapé un fixe devant mon placard ne sachant pas trop quoi me mettre. D'ailleurs, il faudrait qu'on aille faire les boutiques rapidement, j'ai l'impression que j'ai que des vieux trucs dans ma garde-robe. » Célia tenait beaucoup à son image, et elle y accordait beaucoup d'importance. Elle n'était pas fan de mode spécialement, mais elle avait goût de se sentir jolie, et de plaire. Oui, c'est l'époque de l'adolescence qui veut ça. Les garçons du lycée, et tout ça... même si elle n'a jamais vraiment eu de relations amoureuses pour le moment. La jeune fille est très pudique quand il s'agit de sentiments. Et pourtant, dieu sait que de nombreux garçons craquent sur elle.
« Ne t'en fais pas, tu es magnifique, comme d'habitude ! » Ce compliment était toujours agréable à entendre.
« Pas autant que toi, tu le sais bien ! » Sortez les violons, elles n'arrêtent pas de se complimenter l'une et l'autre. Elles avaient l'air de deux gamines complétement admiratives l'une de l'autre.
« Viens par là, je t'emmène dans le train fantôme. » Et sans même que je puisse répliquer, Loan m'avait déjà tiré à l'entrée de celui-ci.
« Je te déteste, tu sais très bien que j'ai peur dans ces conneries. » Une trouillarde, une vraie. Mais Loan ne lui laissait pas vraiment le choix.
« C'est justement pour voir ta tête que je le fais, tu crois quoi ? » Leur complicité était basée sur des taquineries quotidiennes dont aucune des deux ne pouvaient se passer. A peine le train avait démarré que Célia se cachait les yeux avec son écharpe. Elle criait aussi, de toutes ses forces. Et alors qu'un espèce de connard s'amusait à la toucher par derrière, instinctivement, sans s'en rendre compte, elle s'était réfugiée dans les bras de sa meilleure amie.
« T'es contente ? » Et Loan n'avait pas besoin de répondre puisque son rire franc et amusé en était la preuve vivante. Célia ne pu s'empêcher de lui taper dessus, pour rigoler, en guise de vengeance. Son amie avait bien réussi à la piéger.
« Je te jure, la vengeance est un plat qui se mange froid. » Puis les attractions s'enchainèrent. Les deux meilleures amies passèrent une excellente soirée, jusqu'au moment où il était l'heure de rentrer.
« Ça te dit de venir dormir à la maison ? » Ce n'était pas la première fois que les jeunes filles dormaient chez l'une ou chez l'autre.
« Avec plaisir ma petite Loan ! » La jeune fille prit le soin de prévenir ses parents qu'elle dormait chez son amie. Cette nuit là fut différente des nuits précédentes où elles avaient dormi ensemble. Inconsciemment, Loan s'était blottie contre sa meilleure amie.
« J'ai beaucoup aimé le train fantôme, quand tu étais dans mes bras. » La situation devenait ambiguë, et c'était la première fois. Une atmosphère inhabituelle régnait entre les deux meilleures amies, et Célia en était toute retournée. Et sans même que la jeune fille puisse répondre, Loan approcha dangereusement sa bouche des lèvres de Célia pour l'embrasser. Le baiser fut court mais intense. Et de nombreux sentiments s'en dégageaient, sans même que les deux jeunes filles s'en rendent compte. C'était bizarre comme situation, et le silence se faisait pesant. Célia ne réagissait pas. Et pourtant elle avait adoré ce qui venait de se passer. Avant qu'elle puisse embrasser son amie à son tour, Loan brisa le silence.
« Désolé, je sais pas ce qui m'a pris, je n'aurais pas dû. » Et Célia, trop pudique peut être, restait encore une nouvelle bouche bée. Alors qu'elle aurait aimé lui dire qu'elle avait aimé, et qu'elle avait eu raison de le faire. Mais au lieu de ça, elle ne disait rien du tout.
« Fait comme si de rien n'était ! Bonne nuit Célia ! » Et Loan se retourna pour se coucher. Célia n'a pas réussi à dormir de la nuit, repensant sans cesse à ce moment. Pourquoi avait-elle ressenti des papillons dans le ventre lorsque sa meilleure amie l'avait embrassé ? Pourtant, elle n'avait jamais ressenti quelque chose pour une fille. Le lendemain matin, Loan relança rapidement le sujet pour le clôturer alors que Célia était sur le point de l'embrasser en guise de bonjour. Raté.
« Ce qui s'est passé hier, c'était une erreur. On oublie tout, et on n'évoque plus jamais le sujet. » Loan avait eu peur elle aussi des sentiments qu'elle avait ressenti à ce moment là. Elle avait préféré fuir. Et Célia n'eut pas la force ni le courage de contredire son amie, pensant qu'au final elle n'avait pas aimé ce moment. Au final, les deux meilleures amies restaient sur un malentendu profond, et sur des non-dits. Et elles ne reparlèrent effectivement plus jamais de cette nuit là.
+ résumé du lien ;vous l'aurez compris, elles ont été meilleures amies, et plus si affinités... même si, il n'y a eu qu'un seul baiser échangé entre elles - à cause des non-dits, de sous-entendus mal interprétés, de peur, de sentiments inhabituels etc... les deux jeunes femmes n'ont jamais osé franchir le pas même si elles en mourraient d'envie toutes les deux ! au final, elles ont respectivement compris grâce à l'autre qu'elles aimaient les filles, se sont aimées de tout leur coeur mais sans jamais pouvoir l'avouer (pas assez de courage) puis leurs chemins se sont éloignés jusqu'à ne plus avoir aucune nouvelle de l'une et de l'autre (à cause du départ de Célia à Dublin, qui a été causé suite à son viol) - finalement, 6 six ans après, elles se retrouvent, comme au premier jour, avec la même alchimie et complicité entre elles, malgré tout... comment vont-elles réussir à gérer ça ? vont-elles finalement s'avouer une bonne fois pour toute leurs sentiments respectifs ?