Lucian Redwich ~ J'ai trouvé une famille et perdu l'amour

Lucian Redwich

Le chocolat c'est comme une femme, si tu n'y fait pas attention il devient mauvais

NOM ✛ Redwich PRÉNOM(S) ✛ LucianÂGE ✛ 28 ans. DATE DE NAISSANCE ✛ 20/08/1986 LIEU DE NAISSANCE ✛ Cork NATIONALITÉ ✛Irlandais. STATUT CIVIL ✛ célibataire. ORIENTATION SEXUELLE ✛ bisexuel MÉTIER/ETUDES ✛ chocolatier. GROUPE ✛ les hochets. AVATAR ✛ James Franco.

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le monde des bébés.

Aussi étonnant que cela puisse être j'aimerais avoir un jour des enfants. Mais avec une seule personne qui ne veut plus entendre parler de moi. Alors j'ai rayé cette possibilité de ma vie, car sans Kimberley, avoir un enfant ne serait pas un paradis. Je n'arrive même pas à regarder une autre femme avec l'étincelle de plaisir. Je ne suis pas non plus totalement froid. Sauf que pour un bébé il me faut aimer la personne avec qui il sera fait. Et Kimy est la seule que j'aime. Mais un jour si elle revient et qu'elle en veut alors oui. Ce qui n'est pas prêt d'arriver. Je ne serais jamais père. Tout désir de paternité à été totalement détruit par le départ de Kimy, et la perte de mon seul amour.

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le joueur derrière l'écran.

PSEUDO ✛ Mireaven.

PRÉNOM ✛ Timon ?

ÂGE ✛ 25 ans.

PAYS/RÉGION ✛ Moselle, France

OU AS-TU CONNU LE FORUM ✛ j'y été sous Orion Williams

FRÉQUENCE DE CONNEXION ✛ 5/7 environ

SCENARIO OU INVENTÉ ✛ inventé.

UN DERNIER MOT ✛ Je suis de retouuuuur.

CODE POUR PERSONNAGE INVENTÉ

Code:: <a href="http://bbme.forumactif.org/u238"><ghi>James Franco ✛</ghi></a> Lucian Redwich

IL ÉTAIT UNE FOIS

l'histoire de ma vie !

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Le début de la vie

Il y a 28 ans, j’étais un bébé mignon et calme. Mais ce n’est pas ce qui a suffi pour que ma mère biologique me garde. Ma naissance est l’explication du drame de sa vie. Un drame assez étrange car c’était des bêtises de ses parents et la cruauté d’un homme. Ma mère biologique a connu un homme qui lui plaisait plus que tout au monde. Et ils allaient pouvoir se marier. Sachant cela ils ne prenaient plus leurs précautions et elle tomba enceinte. Sauf qu’ils n’étaient pas encore mariés ce qui ne plaisait pas du tout à la famille de ma mère. Alors quand elle accoucha, ils demandèrent à la sage-femme de dire que c’était un enfant mort-né. Mais ce n’était pas le cas et ils le donnèrent à un ami de la famille qui allait s’en occuper avec sa femme, qui venait aussi d’accoucher d’un enfant mort-né lui. Il avait une femme bien plus jeune que lui alors cela ne pouvait pas choquer. Donc à la place d’être un McConnel je devins un Redwich. J’ai vécu proche de ma famille sans même le savoir. Etrange aussi que les Redwich ont petit à petit coupé les liens avec la famille McConnel. Pourquoi ? Pour ne pas que mes parents biologiques ne se posent des questions sur moi. Ils voulaient protéger leur secret, leur horrible secret. Bien que vivant à Cork je n’ai jamais rencontré ma famille biologique. Mon enfance se passa bien et ma mère me choya comme toute maman. Ce fut elle qui me fit découvrir le plaisir de cuisiner. Petit à petit je me découvris une vraie passion pour le chocolat en évoluant dans ma vie. Ce fut comme cela qu’à quinze ans je me pris la tête avec mon paternel qui voulait que je devienne un homme politique et moi qui voulait devenir chocolatier. Cette dispute dura toute l’année et ce fut ma mère qui réussit à le faire changer d’avis et me laisser faire mes études. En clair j’ai eu la chance de pouvoir devenir apprenti chez un chocolatier qui m’apprit aussi à gérer une entreprise. Je voulais tout voir et tout découvrir.

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A la découverte de l'amour et de la perte

Pourquoi il apprenait à gérer une chocolaterie ? Car mon patron d’apprentissage possédait une chocolaterie à Dublin et il cherchait une personne pour gérer une de ses chocolateries. Mon amour pour ce travail l’avait convaincu que je pourrais l’aider. Je dois dire aussi que je le voyais petit à petit plus comme un oncle qu’un patron. Il faisait attention à tout le monde. Ce fut à lui que je parlai de Kimberley en premier. Cette jeune femme qui m’avait plu du premier coup d’œil. J’avais dix-sept ans. Mais je n’osais pas l’aborder directement. Donc je fis tout pour qu’elle devienne mon amie. Et petit à petit on se rapprocha jusqu’à former un couple l’année de ses dix-sept ans. Mais ce couple était assez discret quand même au départ. Tout se passait bien entre nous. Je l’aimais plus que tout au monde et la présenta même à mes parents. Ma mère fut heureuse de la rencontrer. Mon père un peu moins mais il n’avait plus son mot à dire depuis longtemps. Mais je ne pensais pas que la famille de ma belle Kimy allait vouloir la forcer à se marier. J’avais 23 ans et je décidai d’aller avec Kimy à Dublin, on en avait parlé longtemps et j’avais accepté la proposition de mon patron. Donc on quitta Cork pour aller à Dublin. Ce fut une vie de rêve que ma mère brisa un peu en déclarant que j’avais une famille et deux petites sœurs. J’avais été échangé à la naissance avec un enfant mort-né car la mère de celle qui m’a mis au monde refusait que je vive avec eux. C’était il y a trois ans. J’ai rencontré cette famille et adopta mes sœurs rapidement. Sauf que je n’en avais pas encore parlé à Kimy, voulant lui faire une surprise et réaliser un dîner de famille. Cela créa des tensions dans notre couple. Je faisais tout pour la calmer, lui expliquant qu’il n’y avait qu’elle et que j’allais tout lui dire. J’avais prévu un repas. La veille de ce dernier une nouvelle dispute éclata entre Kimberley et moi. A la suite de cette dispute Kimberley quitta l’appartement. Et elle n’est plus revenue. J’avais 26 ans. Je l’ai attendu pendant trois mois avant de quitter cette ville maudite et retourner à Cork, reprendre l’affaire de mon patron. Malgré tout je continue de payer l’appartement de Dublin au cas où elle revient. J’ai même laissé un mot pour lui dire que j’étais reparti à Cork car j’avais une famille qui me restait, deux petites sœurs, que je l’aimais toujours. Même deux ans plus tard je l’aime toujours. Je me suis noyé dans mon travail pour ne pas y penser. Voir des couples me fait toujours mal au cœur car je sais que je n’aurais plus cette chance d’aimer autant que j’aime Kimberley. C’était comme si j’attendais toujours de la voir apparaître comme par magie. C’était idiot, elle m’avait abandonné … Du moins c’était ce que sa famille m’a déclaré quand j’ai demandé s’ils l’avaient vue.