Delilah Brindstone âge : 25 ans statut : celibataire enfant(s) : aucun occupation : Vétérinaire petit plus : A été adopté mais l'ignore ♥ A perdu son fiancé et son bébé dans un accident pseudo : Penouille avatar : Troian Bellisario crédits : Mi posts : 42 points : 63 inscrit le : 23/12/2014 | Sujet: Re: Il suffit de sourire pour faire croire que tout vas bien ♠ Delilah Mar 23 Déc - 18:15 | |
| IL ÉTAIT UNE FOIS
l'histoire de ma vie ! Tout commençait mal Il fait noir, très noir et elle à peur la fillette, elle se tapie dans le coin et essaye de se faire invisible, elle ferme ses yeux et elle entends la voix rassurante de sa sœur qui lui dit de ne pas bouger, de ne pas faire de bruit, alors la petite de deux ans fait oui de la tête et se tait, elle se fait encore plus petite mais la technique ne marche pas, la porte du placard s'ouvre avec violence et l'homme les trouves, il attrape la fillette qui vole littéralement à travers la pièce. Sa tête heurte violemment le sol et elle perd connaissance, elle n'entends rien de ce qui ce passe, elle oublie tout ça aussi. Quand elle se réveillé c'est dans une voiture de police, sa sœur est à ses cotés, elle veille sur elle, les policiers embarquent leur père et les petites voient des gens ressortir avec le corps de leur mère dans un sac. La fillette ferme les yeux, repoussant tout ça au plus profond d'elle même, aujourd'hui encore elle ne s'en souvient pas, ce n’était qu'un bébé quand tout ça c'est passé. Et puis ça vas un peu mieux La chambre est éclairé par une petite lampe, elle ne peut pas dormir autrement mais ça ne parvient pas à la calmer, barrer la route de ses cauchemar, alors elle hurle dans la nuit, elle se tortille dans son sommeil et elle réveille ses parents, enfin ceux qui disent l'être, car ils lui mentent, toujours, elle à six ans maintenant et les événement du passé ne reviennent que dans ses cauchemars , ceux qui la font hurler et qui la terrorise aussi. Elle se réveille enfin, son père est là, il veut la prendre dans ses bras mais l'enfant le rejette, elle à peur des hommes, car elle revoit ses scène de ce qu'elle croit n'être que des cauchemars. Le père soupire et Delilah se réfugie dans les bras de sa mère. Ou il y a Déli de nuit et Déli de jour, le jour c'est une petite fille pleine de vie et assez doué, elle fait la fierté de ses parents adoptifs et elle passe aussi son temps à leur demander si elle va avoir un petit frère ou une petite sœur mais ils ne réponde pas, bien sur, car si ils l'on adopté elle c'est car il ne peuvent pas en avoir des enfant mais ils ne veulent pas lui avouer, alors ils ne disent rien, considérant que se taire n'est pas vraiment mentir. Alors Delilah grandit, fille de bonne famille, tout lui réussit, elle est la petite star du lycée et elle finit même reine du bal, tout vas pour le mieux dans le meilleur des mondes. Tout semble lui sourire, comme pour compenser son passé. Elle décide de devenir vétérinaire car elle aime aider les autres. Une crise d'angoisse La voix du prof de biologie appliqué résonne dans tous l’amphithéâtre, la notion du jour est complexe aussi le silence est presque total dans l'amphi, quelque uns discute bien mais ils se voient gratifié de regard noir plus que clair, si ils ne veulent pas se retrouver avec la promo sur le dos il vaut mieux se taire. Une voix s’élève cependant pour contre dire le prof, ou faire une remarque stupide, toujours le même, toute la promo le connaît, tout le monde le trouve sympathique, il est vrai qu'il est bon et que la plupart de ses remarques sont justes même si le ton employé lui invite plus à l'agacement, pour Delilah en tout cas, elle pousse un long soupir, attendant qu'il se taise, il n'y a que ça à faire de toute façon, attendre que ce fameux russe se taise, mais il ne semble pas en avoir envie, la jeune femme soupire avant de murmurer entre ses dents : - « Mais la ferme Alexeï ! » Le jeune homme pourtant situé plusieurs rangs plus bas se retourne pour lui lancer un regard noir, elle garde son visage impassible, elle à parlé trop fort, et bien tant pis, il sait que au moins une personne est soûlé par ses paroles incessante. Le cour se finit, sans remarque de la part du jeune homme, on pourrait considérer qu'il est vexé. Le prof finit par poser sa craie dans la gouttière, le tableau immense est recouvert de formules, que chacun essaye de recopier au plus vite, de comprendre aussi avant de pouvoir sortir enfin, au compta goutte, il en faut du temps pour déchiffrer l’écriture du prof. Le rang de Delilah se lève enfin, ses amies se dirigent vers la bibliothèque, elle grimace, il fait déjà presque nuit, elle ne veut pas regagner sa chambre trop tard et elle a besoin de se défouler, elle finit par attraper l'une d'elle pour lui dire qu'elle les laisse. Elle soupire et vas vers le gymnase, elle se dirige tout de suite vers la salle de boxe, elle a besoin de frapper quelque chose, mieux vaut que ce soit le sac. Elle se défoule un long moment, le gymnase est presque vide aussi elle se sent à l'aise. Elle s’interrompt cependant brusquement, il y a un bruit qui l'intrigue, elle entends de l'orage, qui gronde, elle pousse un petit gémissement, apeuré. Les lumières commencent à clignoter, avant de s’éteindre et de faire naître un cris, elle reste figé terrorisé, elle a peur, elle veut de la lumière, mais elle est incapable de bouger, elle sanglote et reste planté au milieu de la salle. Elle distingue doucement une silhouette qui se rapproche, elle a envie de crier mais elle entends une voix qui lui dit que ça vas aller, c'est une voix d'homme, elle ne parvient pas à savoir qui, elle soupire, pleure encore, elle sent des bras qui la prennent , elle sent un torse ferme, elle se blottit, se raccroche au T-shirt de l'autre, en sanglotant toujours, elle a peur, encore, elle enfouie son visage dans le textile, elle tremble comme une feuille, quand le noirs vas cesser ? Elle entends l'autre qui lui parle, encore et encore, faute de mieux le garçon lui refait tout le cour qu'elle vient de quitter, ça signifie qu'il est de sa promo mais Deli est bien trop mal pour faire le rapprochement. Elle soupire, tout doucement la lumière se rallume, Delilah se détache et tout de suite elle devient pivoine, elle reconnaît Alexeï, celui ci la regarde, elle va attraper son sac et quitte la salle à la vas vite, elle entends l'autre qui l'appelle. Elle regagne son appart, honteuse. Le lendemain elle se fait toute petite pour ne pas se faire voir, elle se tait quand ses amies lui demande ce qu'elle a, pourquoi Alex l'a interpellé le matin même, elle ne parle pas de ce qui c'est passé. Quand ça se finit elle pousse un peu ceux de son rang pour sortir au plus vite, elle ne veut pas croiser le jeune homme, elle à bien trop honte, elle l'entends pourtant qui l'appelle encore, elle presse le pas et s'engouffre dans les toilettes des filles, pour aller se réfugier dans cet endroit tranquille. La porte s'ouvre, il rentre, elle s'offusque, comment ose t'il, elle lui cri dessus : - « Nan mais ça vas ? Tu te croit où et puis tu me veut quoi ? » Il soupire, presque vexé, il se rapproche vient la toucher, lui caresser le visage, il prend un air grave : - « Je voulais juste m’assurer que tu allait bien, tu m'a fait peur hier, j'aimerais t'aider, vraiment, je ne te veut pas de mal, je sait que tu ne m’apprécie pas mais tu a besoin d'aide Delilah, tu le sait n'est ce pas ? Tu panique totalement dans le noir, c'est étrange, je peut t'aider. » Elle le regarde, et elle soupire avant de faire oui de la tête. Il sourit et lui presse l’épaule avant de la quitter. Un peu d'amour dans tout ça Et c'est ainsi, il veut l'aider, ça ne marche pas vraiment à vrai dire, enfin il n'atteint pas le but recherché, Déli hurle toujours dès qu'il plonge la pièce dans le noir, elle s’agrippe à lui comme une folle, elle tremble de peur hurle, mais pourtant, pourtant, elle n'a plus peur de lui et elle le supporte même, enfin c'est plus que ça d’ailleurs, puisqu'un sir, lors d'un de ces fameux entraînement, alors que Déli le presse contre elle en hurlant, elle pose furtivement ses lèvres sur celle du jeune homme. Elle sourit gêné quand le lumière se rallume mais c'est le début, le début d'une belle histoire pour elle mais le début de la fin en réalité. Ils se mettent ensemble, ils vivent leur dernières années d'études ensemble. Lors de la soirée de remise des diplômes, il l’entraîne par la main, pose un genou à terre et lui pose la question, elle n'y croit pas, mais elle répond oui bien sur, les larmes aux yeux, elle n'en revient toujours pas. Ils prennent la route pour rejoindre la fête, elle ne parvient pas à détacher son regard du visage d'Alex, elle n'aperçoit pas la voiture qui leur fonce dessus et quand elle hurle, il est trop tard, elle n'a que le temps de sentir le verre dans son épaule et de voir Alexeï qui se prend le volant avant de tomber inconsciente. Mais ça finit mal Les bips réguliers lui font ouvrir les yeux, elle voit les murs blancs, les machines, elle prend peur et puis elle se souvient, elle revoit les lumières, elle entends les cris. Elle panique, elle sent la douleur dans son épaule droite, ça lui fait trop mal. Elle soupire, se redresse et aperçoit sa mère, assoupie dans un fauteuil, elle l'appelle, paniqué, elle à tellement peur. Sa mère se réveille, elle sourit, tellement soulagé que sa fille soit réveillé, elle est resté endormie pendant une semaine. Elle regarde sa mère, elle veut des explications, mais quand celle ci viennent alors elle explose en sanglot, car elle à tout perdu dans cet accident, et même plus qu'elle pensait, il est mort, sur le coup, ce qu'elle a vu était les derniers instant de celui qu'elle aimait mais elle a aussi perdue la vie qui grandissait en elle, cet enfant dont elle n'avait pas encore conscience. Elle se sent détruite, alors elle choisit de partir, elle ne veut plus vivre en France, elle cherche et trouve un travail, voilà pourquoi elle débarque ici, elle veut juste oublier, recommencer sa vie, elle veut tout oublier.
Dernière édition par Delilah Brindstone le Mar 23 Déc - 22:06, édité 6 fois |
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